Je Club - Miami
- blogdevoyageuse
- Nov 10, 2013
- 3 min read
Je me réveille, j'ai une voix d'homme. Mais qu'est-je encore fait...rosée de regrets, du matin.
Tout ça grâce et à cause de Florence, mon amie hôte de l'air qui m'a amenée à Miami. Parce qu'on a manqué le vol pour Tokyo, à cause du nombre de bagages trop élevé et trop lourd des Japonais, qui étaient sur notre vol.. à cause qui avais pu de place, à cause, qu'on voyage stand by.. et que c'est la vie du voyageur en stand by. Et que voyager stand by est parfois magique, parfois colérique, parfois tu finis par choisir des destinations qui ne faisaient même pas partie de ta liste de départ.. et parce que c'est la vie. Duvoyageurstand by.
Pour faire honneur à cette femme merveilleuse-mais-dure-à-suivre-dans les partys, je sors en ville. Pas n'importe où, pas dans n'importe quelles conditions.
Et oui, j'ai du mal à me remettre de notre émoustillade d'avant hier de la shot du jacouzi et du champagne cheap de miami south beach style. À vrai dire je n'ai pas survécu à l'apéro alors mes amis sont sortis sans moi. Mais ce soir, Je sors en ville. Code vestimentaire obligatoire, mon dieu ça fait mille ans que je ne suis pas allée dans un club avec code vestimentaire-en-faite-ça-m'est-jamais-arrivée. J'honore donc mon style de backpacker en portant une camisole en guise de jupe sexy (mouahha) un gros t-shirt enroulé dans sa ceinture-corde improvisée de top de bikini et la touche finale, des espadrilles "toms". Pis bin du mascara pour pas que les gardes voient mes espadrilles sales-et-avec.. un ti trou. J'ai oublier mes talons hauts compensés de star d'hollywood à maison.
La gagn commence à stresser sur le cas de mes souliers, va savoir, on pourrais apparemment me refuser l'accès si je n'obéis pas au code de la loi des talons hauts. Pis bin du eye-liner en touche finale. Yallah c'est parti, comme on est toute une gagn d'auberge de jeunesse à y aller et on paye un pris de groupe, on se déplace à pied. Et en talons, je me marre de toutes les filles qui on du mal à suivre (sauf bien entendu Flo qui est entraînée à courir les aéroports en talons à la pousruite d'un assignement de vol dernière minute).
Arrivée au famous LIV club à Miami. Ca y est, moment de vérité. Carte d'identité. Validation. Regard de coin de l'oeil, ils n'ont vu que du feux. Parfait, prochaine étapeeeiiieeewwowooooooowwwwww!
Je suis dans un vidéoclip de Sean Paul.
Tous alignés, les gros black guys avec leur lunettes de soleil, veston noir et écouteur dans l'oreille avec le fil-tire-bouchon qui pends. Les filles, collants filets too much avec one-piece sans bretelles-strig-jartelle par dessus talons hauts comme les cieux enlacés jusqu'aux genoux, je change on est dans un vidéoclip de 50 cent. Candy shop ou quelque chose. Dj sur un trône survolant la salle, écrans placintas de deux milles pouces, c'est géant. Et la boule disco, elle prends toute la place. J'ai du passer au moins 10 minutes la bouche ouverte les yeux en l'air à admirer les jeux de lumières mauve-rose-bleu-orange-paaaartout!!! Je suis impressionnée en tabouère. Ça vallais le coup, juste pour les lumières.
Flo me tire par le bras, on est attendu. Bien sûr, elle à eu le temps de se faire des amis pendant les deux soirées de lendemain de brosse qui sont passés! On est dans le V.I.P. Mouaip. En espadrilles en plus. Avec comme voisins, une charmante bande de machos qui célèbrent un enterrement de vie de garçon! Super. Ici, la zone VIP est renouvelée de bouteilles de vodka à 300$ pas de joke la, à volonté. Merci Flo. Dans un club comme Le Liv à miami, une bière coûte 25$, sans le tip. Juste de même..
Je voudrais dédier cette soirée à mes souliers, et aussi ma Flo et ma gagn de Français fous.
Adieu ma dignité, bonjour extinction de voix.

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